J'y suis, j'y reste
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J'y suis, j'y reste

J'y suis, j'y reste peut faire référence à : « J'y suis j'y reste », une citation prêtée au général français Mac Mahon après la prise de la redoute de Malakoff lors du siège de Sébastopol pendant la guerre de Crimée en 1855 ; J'y suis, j'y reste, une pièce de théâtre française représentée en 1953, de Raymond Vincy et Jean Valmy ; J'y suis, j'y reste, l'adaptation de cette pièce de théâtre, réalisée par Maurice Labro et sortie en 1954 ; « J'y suis, j'y reste » sont les nouveaux mots de la Maison Atréides dans la série de romans SF de Frank Herbert, Dune J'y suis, j'y reste, 23e épisode de la saison 7 de la série télévisée d'animation Les Simpson (1996) ; J'y suis, j'y reste, chanson du groupe français Zebda, dans l'album Utopie d'occase.

Synopsis J'y suis, j'y reste

Antoinette (Anne-Marie Carrière) qui veut épouser Jules (Jean Clarieux) apprend à l'état civil qu'elle est déjà mariée avec un baron de Mont-Vermeil (Claude Nicot). Elle se souvient que dix ans plus tôt on lui vola son sac à main, ses papiers et que la voleuse a épousé, sous son identité, un baron. Elle se présente au manoir de son "époux légal" pour lui dévoiler la vérité et réclamer le divorce. Mais non sans difficultés, la tante du baron (Denise Grey) est une comtesse très conservatrice. Mais pas scandale possible, le cardinal de Trémone (Jacques Morel) arrive pour un séjour au château. Pour sauver les apparences devant le cardinal, Antoinette tiendra le rôle de celle qui a épousé le baron. Jules sera son frère. Son éminence, constatant que le baron est prêt à divorcer pour convoler avec Gisèle (Anne Sitel), la dame de compagnie de la comtesse, se met en tête de sauver le mariage du baron et d'Antoinette... Enregistrée le samedi 11 juin 1966 au Théâtre Marigny, à Paris..